COYOTE PIZZA
Voici ce qui se cache derrière ces deux mots :
Coyote : Une envie paradoxale de recentrer nos actions vers, la périphérie.
Pizza : Une envie d’interroger, dans le flou de l’action, les fonctions sociales de l’art et les conditions de sa diffusion, notamment dans ses rapports au spectaculaire, à l’événementiel ou au divertissement.
Coyote : Un besoin d’entretenir le quiproquo, le caractère absolument équivoque voire indéterminé du projet, des intentions qui le motivent et des actes qui en découleront.
Pizza : Une envie un peu symptomatique, de légèreté et d’utopie.

Concealed behind these two words:
Coyote: an incongruent desire to focus our work at the edge.
Pizza: a desire to question, in undetermined form, art’s social role and manner of diffusionin relationship to the spectacular, events and entertainment.
Coyote: the need to incite experimentation and an absolute necessity to encourage trials and ventures, to investigate the motivations and the actions that follow.
Pizza: symptoms of liberty and utopia.

Le principe du projet Coyote Pizza, est de confronter des lieux et événements où s’organisent la consommation de masse, le tourisme culturel, le loisir organisé, (ce qui roule, ronronne et roucoule. ce qui « combien »), et des interventions artistiques que l’on qualifiera de performatives : Des actions, plus génératrices d’attitudes que productrices d’objet, réduites dans un souci d’efficacité à leur plus simple expression et susceptibles de brouiller les limites entre protagonistes, passants et spectateurs (qui regarde, à quel moment ?), entre réalité et fiction, entre (osons) art et vie:Au minimum donc le corps, le temps et l’espace (3 éléments intrinsèques à la performance), au maximum, pas grand-chose de plus.
L’action est prise avant tout comme l’affirmation d’une capacité à agir, aussi infime ou décalée soit elle, comme porteuse d’une charge de révolte, de nuisance et de rupture.Pratiquement il s’agit de s’inviter aux seins de manifestations (en marge ou au cœur) déjà existantes qui se dérouleront au cours de l’année: un lieu, un moment particulier, un public (très varié et probablement le plus souvent non acquis), et proposer des interventions souples et ouvertes, potentiellement critiques; un saupoudrage diffus d’actions bouleversantes, dans un but d’exploration voire de transgression.
Ces micro-événements (dans l’événement) joueront sur les rapports de force qui s’exercent entre le sentiment de relative liberté qui caractérise l’espace public et les moyens de régulation et de contrôle qui le régissent. Ils opéreront dans une oscillation entre le privé, l’intime et le public, l’ordre et le chaos; entre ce qui apparaît et ce qui existe, entre le canon et le monstre. Un camouflage spectaculaire, un message fort et confus, un canular intimiste, etc.
Chaque intervention sera une occasion de stimuler les liens entre l’individu et son environnement, un « surgissement de l’événementiel et de l’aléatoire dans un champ d’opérations programmées »(1) :Festivals, salons, commémorations, fêtes, inaugurations, congrès, compétitions sportives, manifestations, séminaires, foires, compétitions sportives, inaugurations, salons, séminaires, manifestations, commémorations, fêtes, festivals, congrès, foires …

The principle of Coyote Pizza is to confront locations and events of mass consumerism, cultural tourism and organized distractions to artistic happenings and performance. Actions that encourage attitude rather than a final production, condensed into simple expression giving possibility of erasing boundaries between protagonists, passer bys and an audience,(Who is watching, when), between fiction and reality, and between (be brave!) art and life.At the minimum of body, of time and of space (3 elements at the core of performance) at the maximum not much more.
Action is above all to affirm a capacity to react; however slight or out of touch with reality, carrying a charge of revolt, of annoyance and of rupture.The proposal is to (self) invite ourselves throughout the year to already existing events, (on the outskirts or at the centre), a specific place, time and public and to propose supple, potentially criticised actions. A diffused scattering of un-nerving actions, with a goal to explore and perhaps towards disobedience.
These micro-events address the notions of struggling between feelings of freedom in public space and the ways that this freedom is controlled and regulated. Oscillating between privacy, intimacy and public, order and chaos, amidst what appears to exist and what really does, between the beautiful and the monstrous.A spectacular camouflage, a powerful and mystical message, an intimate hoax etc.
Each event will be a means to stimulate links between the individual and the environment.Their actions therefore correspond to "the emergence of the event and of chance within a field of programmed operations". (1) Festivals, fairs, seminars, commemorations, sports events, openings

« Ce livre est né par fragments (…). Quand j’écris je travaille par séries : j’ai plusieurs chemises où je glisse les pages qu’il m’arrive d’écrire, selon les idées qui me passent par la tête, ou même de simples notes pour des choses que je voudrais écrire (…). Quand une chemise commence à se remplir, je me mets à penser au livre que je peux en tirer. »(2)
Il y a des films de genre, l’objet final(?) de ce projet est un « genre de film » dont on ne connaît à peu près pas la nature mais encore moins la forme.Loin du simple constat, ce film réunit les différents acteurs (artistes et public) pour donner une vision globale du projet. En fonction des propositions des artistes et de leurs souhaits, nous utiliserons comme matière première l’ensemble des documents récoltés: objets, captations photographiques, sonores ou vidéos, toutes formes de traces témoignant du déroulement de l‘action. Un film qui se nourrit d’un processus aux implications multiples, des espaces qui cohabitent et se parasitent, et où différents « artistes- acteurs » se rencontrent par le biais du médium vidéo.
Ce « corollaire cinématographique », fruit de ces expérimentations plastiques, répond a priori aux contraintes suivantes :- Chaque intervention constitue assez classiquement, un chapitre, un épisode, un tableau, une scène couverte simultanément sous plusieurs points de vue.- L'histoire, les chapitres se créent dans le passage d’un contexte à l’autre, d’une action à l’autre, d’un récit à l'autre, d’un film à l’autre.- Le scénario est écrit après le tournage, sur la base des images accumulées pendant l’année (ce n’est pas le scénario qui est monté, mais le matériau qui provient du tournage).- Le travail d’écriture se superpose dans le temps avec celui du montage, et se taille une intrigue, un itinéraire, à coup de fausses pistes et de coïncidences. Les possibilités de montage sont quasi infinies- L’écriture comme le montage jouent avec les codes du récit, font et défont, manipulent les images, brouillent les pistes.
Ce film est avant tout un travail plastique né de la rencontre de plusieurs contextes, de plusieurs actions, de plusieurs types d'images et autour desquelles viennent se cristalliser des mots, des récits écrits à la première personne, et au final une voix unique.
Il s’agira enfin de trouver une forme et un/des modes de diffusion en cohérence avec l’objet ainsi qu’avec toutes ces attitudes, ces postures, que les artistes auront provoquées et qui n’ont à priori aucun point commun entre elles.« La réalité serait-elle, dans son essence, obsessionnelle ? Etant donné que nous construisons nos mondes en associant des phénomènes, je ne serais pas surpris qu’au tout début des temps il y ait eu une association gratuite et répétée fixant une direction dans le chaos et instaurant un ordre. »(3)


“This book is born from many fragments (…). When I write, I write through series: I have many folders in which I slide pages of writing that I have written, depending on ideas that go through my mind, or even notes on what I would like to write. When the folders are full, I start to think of the book I can compose. (2)
There are genre films, this goal of this project is to make a « type of film », we don’t know yet what type and even less the form the film will take.
Far from a simple recording of events the film will bring together different actors (artists and the public) to give a global vision of the project. Depending on the artists’ proposals and wishes, in the first instance we will select a collection of documents, objects, captions, images, sound and video and all other mediums that witness the action. A film that is nourished from the multi-facet of locations, that co-habit and where different artists-actors meet through the means of video.

This creation of the film covers simultaneously the following regulations:
- Each action will have a chapter, an episode, a tableau, and the same scene simultaneously covered by a number of cameras.
- The scenario and the chapters are to be imagined from one landscape to another, an action to another, a story to another, and one film to another.
- The scenarios are to be written after filming, following the documentation collected throughout the year. (This will not be an editing of the scenario, but an editing of the documentation.)
- The writing and the editing are superimposed over time, becoming intriguing, an itinerary and a collection of coincidences; the possibilities of editing are infinite.
- The writing as well as the editing plays with codes of the plot, made and un-made, manipulating the images and covering the tracks.
The film above all is a work issued from meetings in different contexts, actions, different types of image from which crystallise words, scenarios written in the first person, and ending in one narrated voice.
It will involve finding different means of diffusion in coherence with the film, with the artist’s decisions and with the range of postures provoked by the artists.




1. Julie Pellegrin, art press2 n°7, Performances contemporaines, p. 69, 2008.
2. Italo Calvino, Les villes invisibles, Préface de l’auteur, p.1, Editions du Seuil, 1974.
3. Witold Gombrowicz, Cosmos, Quelques extraits de mon journal au sujet de « Cosmos », p. 9, éd. Denoël, 1966.





Ce projet a reçu le soutien de la DRAC des Pays de la Loire, de la Région des Pays de la Loire, du Conseil Général de Loire-Atlantique, de la Ville de Nantes.
Avec la participation de l'Imprimerie Chiffoleau, la Société Ouest Utilitaires, la Société des Courses de Nantes. the Refugee Council UK, Refugee Youth Project, St Pancras Refugee Centre, (DOST) The Trinity Centre, la Société Standing, l'Association Nantaise des Amateurs d'Oiseaux, La Protection Civile, Le Groupe L’Etudiant, l’Hôtel Richebourg.
COYOTE PIZZA le film, enfin visible sur EDENROC.TV!

COYOTE PIZZA le film


Coyote Pizza

un projet du Collectif La Valise

Phillipe Ménard
Vincent Madame et Jean-Paul Labro
Cyril Lepetit + guests : Ken Clayton et Jive Biquette
Georgia Nelson
patrickandrédepuis1966
Loïc Connanski

Benjamin Baudet - Frédéric Emprou - Pierre Giquel
Carole Humeau - David Humeau - Marie Piquery


le 5 juin 2010

17 h 30
PROJECTION DU FILM
cinema Le Bretagne 23 rue Villebois-Mareuil, Nantes
(tram ligne 3 arrêt Poitou, ou bus 12, 32, 52 arrêt Bruneau)
entrée libre

19 h 30
LANCEMENT DE LA PUBLICATION
21 rue Geoffroy Drouet, Nantes
(quartier Joffre - St. Clément)
entrée libre

Collectif La Valise - 21 rue Geoffroy Drouet, 44000 Nantes
tél : 02 51 89 49 16 / 06 12 34 55 23 contact@collectiflavalise.net
http://www.collectiflavalise.net http://coyotepizza.blogspot.com

Avec le soutien de la Drac des Pays de la Loire, de la région des Pays de la Loire, du conseil général de Loire-Atlantique et de la Ville de Nantes.
Avec la participation de l'imprimerie Chiffoleau, la société Ouest Utilitaires, la Société des Courses de Nantes, the Refugee Council UK, Refugee Youth Project, St Pancras Refugee Centre, (DOST) The Trinity Centre, la Société Standing, l'Association nantaise des amateurs d'oiseaux, La Protection civile, le groupe L’Etudiant et
l’hôtel Richebourg.

On a tous caché une grammaire dada, une grand-mère peu aimable cédant à la pression indiscrète des plages, une grand-mère aux humeurs passagères, on a tous, cachée en nous, blottie mais vivante, notre grande mère dada.

Les femmes ou les hommes incarnés : chacun invente sa décision d’entrer en relation, j’ai pas dit « religion » !

Une communication qui ne transporte pas sa dose de dénonciation est une traînée qui passe pour une sainte. C’est en effet dans l’émeute que je m’identifie.

S’il y a quelque chose de commun entre elles, entre eux, c’est cette disponibilité qui les fait singuliers malgré les magnifiques habits de caméléon dont ils s’affublent. Ainsi se faufilent-ils, aidés par de souples complices, on les voit sans les identifier, ils prennent leur temps, comme s’ils s’apprêtaient à rédiger une épopée, le mot est fort, c’est sans doute tout le contraire qui se déroule, on les découvre surgis à la dérobée ou sans masque, ils endossent de dangereuses incapacités, ils se distribuent des rôles en se dédoublant parfois, ils passent illico presto sur les frontières.

Les complices : ils ne se multiplient pas, Ils n’ont rien à perdre. Chaque fois ils se sont attendus à ce qu’on les vire, chaque fois, on les a regardés comme des intrus, mais aussi des témoins, ils ont occupé le terrain, sans bruit, ils nous ont dévisagés ou ils ont continué leur chemin, accrochant une utopie à leur pas.


Pierre Giquel, Coyote Pizza 2008.
La performance accélère le temps. Il n’y est pas question de travail ou de rendement. Il s’agit de se rêver de bonne heure.

Bartleby ou l’orientation d’une vie. Imaginons que les projets d’avenir soient des gares dont nous serons bientôt les passagers. Spectateurs distraits du train arrêté des événements, nous nous baladons à l’envie. Le ou ne pas caché dans la poche devient la balise secrète de nos trajectoires. Nos motivations sont le verbe griffonné, la page blanche notre carte de visite.

La pizza est un concept ornemental changeant. Les éléments qui la composent sont de natures différentes et de sources particulières. Sa forme n’en est que plus inédite, elle bouscule les paysages.


Frédéric Emprou, Coyote Pizza 2008.
Comme une force, l’ombre de glace s’épanouit en fondant, les chevaux ne s’affolent pas, il n’y a pas de départ, ni d’arrivée, il n’y a plus de record, un samouraï traverse le temps.

Dans les agitations cardiaques, reste un avenir. Je pose un doigt comme on pose une bouche, à la dérobée on sauve des vies.


Pierre Giquel, Coyote Pizza 2008.
Le pardon des oiseaux, c’est un peu le western du Nouveau-Mexique adapté au salon de l’ameublement. Moi aussi, je veux adhérer au club national des oiseaux exotiques.

Acrobate, jongleur, samouraï du déplacement, tu n’as que faire des obstacles. Renard du désert, tu tiens en équilibre ton identité et ton territoire dans un transit constant. De peur que ta mélancolie ne fonde comme neige au soleil, entre deux dépressions climatiques, tu souffles sur la glace.


Frédéric Emprou, Coyote Pizza 2008.
« Brûler » ou ne pas « brûler ». Le train de l’étudiant s’est arrêté. Il y a une efficacité paradoxale à voir chacune et chacun inscrire un mot deux fois et le voir s’effacer promptement.

Deux oiseaux mutants et sifflants devisent parmi des congénères en cage puis dans les salons. Je devine une fable philosophique battue par des ailes pasoliniennes.

Clandestinité, clandestinité chérie… Il y a toujours une surprise à retrouver une mélodie, comme s’il s’agissait d’une résurrection. Flottant comme un voile, exténuée comme un viol.


Pierre Giquel, Coyote Pizza 2008.
C’est la danse du chignon magique, la salsa magnétique. L’artifice déride les poses, l’ironie est capillaire.

Au jeu des géographies inversées, l’humour reste le seul cartographe fiable. L’hybridité est un art d’accommoder les débuts et de se jouer du reste.

L’image est la rose qui fleurit dans les déserts. La quinte flush dans la partie de poker. Sa recherche est pérégrination mentale. Des rushs et des heures.

La coyote pizza est fringante et savoureuse. Fondante et généreuse, elle se déguste par les bords, elle fait rire les apaches.


Frédéric Emprou, Coyote Pizza 2008.
Points de vue, échange de mondes.

La techno transe est la dernière chose à la mode. Cravate noire, veste de rigueur et verre de champagne à la main, les échanges commerciaux se passent sous fond d’une délicieuse récession musicale. La rumeur des clandestins était là avant tout le monde.

Quel est l’ultime décor de la toile de fond ? Nous sommes dans le spectacle bien sur. Mais il convient de pratiquer le désir par l’infiltration. A cet effet, nous précisons nos balistiques et changeons de focale.

On aurait tort de faire du prosélytisme à tout crin, ici, on sifflote les hymnes comme on chante des variétés en langue étrangère.


Frédéric Emprou, Coyote Pizza 2008.
Elle a marché, marché, dépouillée, sanglante, son humour battant froid les allées roses et feutrées, dégoulinant de sueurs terribles, infanticide. Criblée.

L’espionnage, c’est l’excellence.

Mobiles sur les côtés du monde. Mobiles et multiples. Je les devine experts en furtivité.


Pierre Giquel, Coyote Pizza 2008.
De tout temps, le coyote est le témoin visionnaire qui cherche des bouteilles d’eau minérale.

L’oasis appartient à un montage plastique à plusieurs personnes.

Les oiseaux migrateurs n’attendent pas le fil de saisons. Les voix du sud sont multiples et aériennes.

Il y a des salons dans tous les pays du globe. Qui a dit que le local était spécifique ?


Frédéric Emprou, Coyote Pizza 2008.






photos: Vincent Roux









------- rendez-vous Coyote Pizza ------


PIZZA POUR TOUS






vendredi 19 décembre 2008 à partir de 18h30
1 rue Saint-Pierre 44 000 Nantes

diffusion pêle-mêle des images récoltées lors des interventions de:

GEORGIA NELSON
LOIC CONNANSKI
CYRIL LEPETIT+GUESTS : KEN CLAYTON+JIVE BIQUETTE
PHILIPPE MENARD
VINCENT MADAME+JEAN-PAUL LABRO
PATRICKANDREDEPUIS1966



BENJAMIN BAUDET+FREDERIC EMPROU+PIERRE GIQUEL+CAROLE HUMEAU






- restauration sur place -









La pizza est un « plat totem, parce qu’elle n’a pas d’ordre : elle se mange salée ou sucrée, froide ou chaude, elle se grignote autant qu’elle se partage, elle n’est pas sérieuse mais nourrit authentiquement, elle se moque des religions puisqu’elle se fait kasher, hallal voire végétarienne. Partout où elle s’installe, elle se décline, se réinterprète, elle plaît aux mangeurs mais elle échappe aux chercheurs.»*

* Sylvie Sanchez, Pizza connexion. Une séduction transculturelle, Editions du CNRS, 2007.





Pizza pour tous c’est l’occasion de montrer au public l’avancement du projet Coyote pizza au terme de l’année 2008. De réunir pour la première fois dans un même lieu et au même moment les résultats filmés des différentes propositions des artistes, dans leur forme brute c'est-à-dire non montées. Des images qui se volent la vedette à tour de rôle, le simulacre du nombre, les fauves sont lachés.
Artistes, publics, curieux convertis, sceptiques avertis, à chacun, dans cette cacophonie programmée digne d’un combat de coqs, dans ce pêle-mêle confondant, de trouver sa place au beau milieu du salon.

Rendez-vous Coyote Pizza

"OU NE PAS"

Une performance de patrickandrédepuis1966

Train de l'orientation


Gare SNCF de Nantes Voie B
Le samedi 29 novembre 2008
11h00 / 13h00 et 14h00 / 16h00


rêver ou ne pas rêver Danaé
choisir ou ne pas choisir Jimmy
soigner ou ne pas soigner Cyrielle
faire carrière ou ne pas Faire carrière Geoffroy
aimer ou ne pas aimer Margaux
voyager ou ne pas voyager France
s’éclater ou ne pas s’éclater Geoffroy
aider ou ne pas aider Emeline
aider les autres ou ne pas aider les autres Clémence
profiter ou ne pas profiter Camille
investir ou ne pas investir Adrien
réussir ou ne pas réussir Clément
faire physique ou ne pas faire physique Steeve
agir ou ne pas agir Pierre-Charles
créer ou ne pas créer Hélène
naviguer ou ne pas naviguer Harold
vivre ou ne pas vivre Nino
aider ou ne pas aider Kevin
découvrir ou ne pas découvrir Marie
protéger ou ne pas protéger Anonyme
réussir ou ne pas réussir Florianne
rire ou ne pas rire Anaïs
réussir ou ne pas réussir Paul
découvrir ou ne pas découvrir Emeline
enrichir ou ne pas enrichir Jules
faire ou ne pas faire Charlène
aider ou ne pas aider Frédérique
sortir ou ne pas sortir Sarah
rencontrer ou ne pas rencontrer Laura
réussir ou ne pas réussir Cécile
douter ou ne pas douter Clémence
soigner ou ne pas soigner Adèle
se lever ou ne pas se lever Leïla
réussir ou ne pas réussir Marie-Aliénor
être ou ne pas être Quentin
changer ou ne pas changer Anthony
s’arrêter ou ne pas s’arrêter Glen
être dans l’humanitaire ou ne pas être dans l’humanitaire Claire
travailler ou ne pas travailler Véronique
réussir ou ne pas réussir Alexandre
partager ou ne pas partager Stéphanie
réussir ou ne pas réussir Alex
gagner argent ou ne pas gagner argent Christophe
réussir ou ne pas réussir Florence
être efficace ou ne pas être efficace Amin
travailler ou ne pas vivre Anonyme
rêver ou ne pas rêver Elodie
rêver ou ne pas rêver Carole
voyager ou ne pas voyager Lizi
rougir ou ne pas rougir Laurence
rechercher ou ne pas rechercher Clément
changer ou ne pas changer Charlotte
dérusher ou ne pas dérusher Pascal
manager ou ne pas manager Guillaume
changer ou ne pas changer Frédéric
exister ou ne pas exister Julie
m’épanouir ou ne pas m’épanouir Maud
vivre ou ne pas vivre Thomas
savoir ou ne pas savoir Guillaume
conduire ou ne pas conduire Boris
réussir ou ne pas réussir Romain
échanger ou ne pas échanger Annabelle
apprendre ou ne pas apprendre Pierre-Emmanuel
créer ou ne pas créer Caroline
réussir ou ne pas réussir Antoine
aider ou ne pas aider Héléna
progresser ou ne pas progresser Renaud
découvrir ou ne pas découvrir Mélanie
voyager ou ne pas voyager Elodie
travailler ou ne pas travailler Kevin
réussir ou ne pas réussir Julien
découvrir ou ne pas découvrir Eliot
voyager ou ne pas voyager Chloé
s’enrichir ou ne pas s’enrichir Yves-Marie
aimer ou ne pas aimer Pauline
aider ou ne pas voyager Maxence
défendre ou ne pas défendre Thomas
voyager ou ne pas voyager Clémentine
être heureuse ou ne pas être heureuse Alison
augmenter ou ne pas augmenter Anastasia
voyager ou ne pas voyager Ingrid
enseigner ou ne pas enseigner Agnès
rêver ou ne pas rêver Damien
réussir ou ne pas réussir Gaspar
attendre ou ne pas attendre Pauline
apprendre ou ne pas apprendre Jérémie
travailler ou ne pas travailler Romain
réussir ou ne pas réussir Jean-Côme
désirer ou ne pas désirer Philippe
aider ou ne pas aider Johanna
évoluer ou ne pas évoluer Karine
m’organiser ou ne pas m’organiser Elise
aimer ou ne pas aimer Sarah
réussir ou ne pas réussir Ségolène
aider ou ne pas aider Angélique
s’épanouir ou ne pas s’épanouir Céline
explorer ou ne pas explorer Clément
prendre du plaisir ou ne pas prendre du plaisir Flavien
trouver ma voie ou ne pas trouver ma voie Noémie
m’amuser ou ne pas m’amuser Emilia
m’épanouir ou ne pas m’épanouir Marine
rencontrer ou ne pas rencontrer Léa
s’amuser ou ne pas s’amuser Camille
évoluer ou ne pas évoluer Charline
voyager ou ne pas voyager Justine
créer ou ne pas créer Maxence
aimer ou ne pas aimer Camille
construire ou ne pas construire Edouard
réussir ou ne pas réussir Agnès
voler ou ne pas voler Gauthier
choisir ou ne pas choisir Michel
communiquer ou ne pas communiquer Marine
créer ou ne pas créer Sébastien
diriger ou ne pas diriger Maxence
oser ou ne pas oser Camille
entreprendre ou ne pas entreprendre Zéna
lier travail et plaisir ou ne pas lier travail et plaisir Clarisse
organiser ou ne pas organiser Odara
être libre ou ne pas être libre Sarah
vivre ou ne pas vivre Alice
être heureux ou ne pas être heureux Laure
danser ou ne pas danser Chloé
manger ou ne pas manger Amélie
découvrir ou ne pas découvrir Claire
briller ou ne pas briller Pierre
aider ou ne pas aider Elodie
assimiler ou ne pas assimiler Elise
voyager ou ne pas voyager Paul
réagir ou ne pas réagir Jean- Baptiste
connaître ou ne pas connaître Laura
douter ou ne pas douter Marine
aider ou ne pas aider Amandine
construire ou ne pas construire Elise
manger ou ne pas manger Marie
jouer ou ne pas jouer Claire
aimer ou ne pas aimer Julie
vouloir ou ne pas vouloir Laurie
réussir ou ne pas réussir Laure
explorer ou ne pas explorer Aurélie
réussir ou ne pas réussir Antoine
vivre ou ne pas vivre Maddy
soigner ou ne pas soigner Pérrine
diriger ou ne pas conseiller Badia
aider ou ne pas aider Anaïck
réussir ou ne pas réussir Ken
s’épanouir ou ne pas s’épanouir Pérrine
dormir ou ne pas dormir Jérémie
voyager ou ne pas voyager Coralie
devenir éternel ou ne pas devenir éternel Damien
vivre ou ne pas vivre Ikram
agir ou ne pas agir Ebrissem
apprendre ou ne pas apprendre Valentin
commercer ou ne pas commercer Etienne
être heureuse ou ne pas être heureuse Anne-Laure
s’épanouir ou ne pas s’épanouir Lorraine
étudier ou ne pas étudier Romain
se calmer ou ne pas se calmer Pauline
s’épanouir ou ne pas s’épanouir Camille
aimer ou ne pas aimer Julia
réussir ou ne pas réussir Marine
rire ou ne pas rire Guillaume
être libre ou ne pas être libre Audrey
voyager ou ne pas voyager Elysée
apprendre ou ne pas apprendre Marion
douter ou ne pas douter Manon
bosser ou ne pas bosser Pierre
réussir ou ne pas réussir Nadège
s’épanouir ou ne pas s’épanouir Xavier
être utile ou ne pas être utile Emeline
être ou ne pas être Loïc
être efficace ou ne pas être efficace Simon
évoluer ou ne pas évoluer Charline
créer ou ne pas créer Alizée
réussir ou ne pas réussir Manon
soigner ou ne pas soigner Léa
aider ou ne pas aider Marion
créer ou ne pas créer Clémence
naviguer ou ne pas naviguer Antonin
gagner ou ne pas gagner Angélique
rechercher ou ne pas rechercher Flavie
s’éclater ou ne pas s’éclater Anna
produire ou ne pas produire Coralie
organiser ou ne pas organiser Clémentine
aider ou ne pas aider Kim
entreprendre ou ne pas entreprendre Mélisande
rechercher ou ne pas rechercher Tony
communiquer ou ne pas communiquer Lucie
entreprendre ou ne pas entreprendre Elise
réfléchir ou ne pas réfléchir Célia
voyager ou ne pas voyager Cécile
s’épanouir ou ne pas s’épanouir Sonia
réussir ou ne pas réussir Amandine
voyager ou ne pas voyager Florian
avancer ou ne pas avancer Tiphaine
réussir ou ne pas réussir Marie
réussir ou ne pas réussir Daphné
réussir ou ne pas réussir Hortense
réussir ou ne pas réussir Soraya




///Ou ne pas///


Poser un verbe avant la formule, « ou ne pas » puis poser le même verbe après.

L’action évoquée par le verbe inscrit n’est pas ici annulée mais semble seulement tourner sur elle même. Une fraction, rien de plus, une forme qui se vide par une figure inverse. Rien de plus.
Il ne me semble pas que nous soyons devant une volonté d’action et son contraire mais seulement devant une forme pleine, qui ne représente qu’un vide possible. Un vide spirituel formé par un pas et son inverse. Cette forme pourrait se définir autour d’un lieu vidé, creusé par la figure présente. Un espace vide qui donne le vertige par son inactivité et son improductivité soudaines. Un lieu à remplir ?


Patrickandrédepuis1966
Nantes – le 29 novembre 2008



avec l'aimable participation de l'Association Nantaise des Amateurs d'Oiseaux


Entrée du salon: Plein tarif : 5,50€ (gratuit pour les – de 10 ans)
Tarifs réduit : 4,50€ (personnes à mobilité réduite, étudiants, demandeurs d'emploi sur présentation de carte)









- Temps 01: Le mythe
Ou comment J. P. et V se confrontent, luttent, l'un bourreau, l'autre victime ...
Et l'un fait subir le supplice du "goudron et des plumes" à l'autre...

- Temps 02 : La vampirisation, ou épidémie.
Ou comment les formes s'inversent, le serpent se mord la queue...et la victime devient bourreau...
Nos deux protagonistes sont contaminés.

- Temps 03 : La musique de la crise
Ou comment les sifflements se font entendre, et la musique de nos Nations retentie.
Ici, nous sifflons les hymnes nationaux, les corps à moitié emplumés et collants, noirs et blancs.

- Temps 04 : Quelle posture adopter?
Ou comment les corps se muent, pour se faire violence, et developper des poses et postures appropriées face à l'Etat du Monde et aux oiseaux qui le peuplent.





Vincent Madame et Jean-Paul Labro







ICE MAN, Philippe Ménard, hippodrome de Nantes, novembre 2008.
photo Carole Humeau
---------------------- Rendez-vous ----------------------
Coyote Pizza

ICE MAN
Une performance de Philippe Ménard
Hippodrome du Petit Port
Boulevard des tribunes 44100 Nantes
Dimanche 2 novembre 2008 à 14h00


photo: Carole Humeau
Info de dernière minute:

L'intervention programmée le vendredi 17 est annulée

Nous sommes désolés pour ce contretemps.

Nous serons heureux de vous accueillir à celle du samedi 18 qui est maintenue.


-------------------------------- Rendez-vous --------------------------------
COYOTE PIZZA


TECHNOTRANS
SALON DU TRANSPORT ROUTIER

au Parc des Expositions de la Beaujoire à Nantes
hall 1 - stand 10 (Ouest Utilitaires)
16 - 17 - 18 octobre 2008
de 16h00 à 17h00

une proposition de Cyril Lepetit avec la collaboration de nombreux réfugiés vivant actuellement en Grande-Bretagne

ainsi que les Djs Jive Biquette, Ken Clayton + Guests


téléchargez votre badge d’entrée au salon sur : http://www.ubiqus-registration.com/technotrans2008/?Jpto=116&IdEvent=38



remerciements: Refugee Council UK - Refugee Youth Project - St Pancras Refugee Centre - (DOST) The Trinity Centre -

avec les voix de :

Aniff Mohammed
Ahmed Aweys
Hussain Mosavie
Indrit Dedja
Elton Qemalia
Shafi
Abdullah Maroofkhel
Mohammed Safari
Saifaddin Dadkhan
Haji Mohammad Gulab
Macus Teshome
Sirat Shirerali
Zenawi
Hashmatullah Hussaini
Mohammed Mohammedi
Hamid Reza Rajaby
Farhad Kazimi
Navid Momene
Rohullah Umerkheil
Hussain Mosavie
Safiddin Dadhkan
Naseem Maroofkhil
Shamsullah Ahmeukai
Mosadeq Hamdard
Lidy Wetu
Hamid Reza Rajaby
Ata Mohammade
Mohammed Mohammedi
Handsome Man
Mirwais Khan
Merhawi Azis
Titi Helen Melse
Yodet Beher
Mosadeq Hamdard

"Le problème est celui du sorite, ou syllogisme du tas (de soros, tas en grec). Combien de grains faut-il pour faire un tas ? Ou, ici, combien d'individus faut-il pour faire une foule ? A toute réponse déterminée on pourra opposer le même argument : si "la foule" est fixée à 100 individus, est-ce que 99 individus ne composeront pas une foule ? Dans la négative, pourquoi ne pas abaisser encore le seuil ? Mais dans l'affirmative, il faudra admettre que l'être de la foule est absent dans une réunion de 99 individus, et présent dans la réunion de 100 : alors c'est un individu ajouté qui est véritablement la foule. Le même argumentaire peut évidemment être répété quel que soit le nombre choisi au départ : il est ainsi aisé de montrer qu'en soi la foule ne tient pas à une quantité strictement déterminée."


"La parole est ainsi un des moyens de la mise en forme d'une multitude de laquelle l'homme qui parle sort (ex...multitudine), et en sortant de cette multitude il s'excepte de sa réduction à l'unité numérique pour acquérir une identité spécifique (tout le monde a la faculté passive de parler, lui seul sait user activement de la parole). Cette spécificité le distingue de la foule comme la réflexion médiate distingue l'émotion immédiate : la foule ne connaît que des mouvements (populi motus) et pas des conceptions ni des actes réfléchis. On voit poindre l'idée d'une foule incapable de penser et même d'agir véritablement, réduite à la passivité passionnelle : dans les deux cas, la foule est pathos (c'est-à-dire affection et soumission) et seul l'individu qui s'extrait d'elle récupère la puissance de l'agir. Grâce à cette puissance la foule peut être modelée, guidée, canalisée dans ses affections et ses mouvements."
photo: Carole Humeau

Loïc Connanski, "1 vie = 3 gestes", Cité des Congrès de Nantes, septembre 2008.
Avec l'aimable participation de la Protection Civile.

dopium

30 fois ville-étape

Les 209 km en 6h43’
Moyenne de l’étape : 31,00 km/h
Puissance moyenne : 199,9 watts
Puissance maximale : 524 watts
Fréquence cardiaque moyenne : 127,8 pulsations
Fréquence cardiaque maximale : 147 pulsations
Fréquence de pédalage moyenne : 84 tours/minute
Vitesse maximale : 55,8 km/h
Consommation énergétique : 4897 KJ
Moyenne générale après la 3ème étape : 30,88 km/h (573,5 km en 18H 32 minutes)

290 000 habitants.
Après avoir franchi les barrières, l'un d'entre eux a sauté Bernard Hinault l'a repoussé. Un autre a tenté, les forces de l'ordre ainsi que trois ou quatre autres avec son château son « Unique », le deuxième marché quatrième port français, traite 34,5 millions de tonnes (dont 77 %). depuis 2002 sa « Folle » (une centaine pendant 5 jours) ou la troupe de Luxe, culture et patrimoine.
60 000 licenciés, une vingtaine d'opposants pour se faire entendre. Eurofins, Airbus recherche, projets
80 disciplines 370 associations sportives. l’un des plus beaux huit titres de champion et trois Coupes
Jules Verne, Jacques Demy,d’Éric Tabarly
Nantes pratique l’expérimentation permanente.

57% des Français, dont 64% des salariés, entre 3.000 et 5.000 d'après la police, Ils étaient entre 3.000 et 4.000 à Toulouse, environ 2.000 à Strasbourg et entre 1.000 et 2.000 à Lille.62 ans de 40 à 41 ans, 11.200 suppressions dont 8.800 A Marseille, près de 30.000 personnes selon les organisateurs, 0,25 cent par an soit 0,0025€ x 25 000 000 de salariés = 62500 €. autour de 50 millions d'€ par an, à vue de nez environ 100 millions d'€ par an au minium, ramené à 25 millions cela fait 4€ par salarié, certes entre 4€ et 0,0025€."1 euros pour manger", "l'argent gratuit".hop!

42,195 km.
1 BORDET Dominique FRA Courir Ensemble Sncf V1 2h29'46''
2 GILET Jerome Fra Us Laval SE 2h32'12''
3 LANDEMAINE Jean-christophe Fra Us Ivry V1 2h34'30''
4 LEBRETON Stephane Fra Manche Athle Centre Sud* SE 2h35'04''
5 BRUEL Patrice Fra SE 2h36'24''
6 MUSSET Olivier Fra Estuaire Athletic Club V1 2h36'51''
7 VINET Philippe Fra Ac Bocage Vendeen* SE 2h36'54''
8 CROCHET Laurent Fra Us Pointe-des-galets SE 2h37'06''
9 BLOUET Laurent Fra As J. Cartier St Malo V1 2h37'40''
10 LEBRETON Vincent Fra Ac Avranches SE 2h38'21''

Produits et soins capillaires, accessoires, matériel professionnel-Shows de coiffure sur scène avec écran géant-Zones d´ateliers techniques / Artistiques / Innovations-Concours Sélection Esthétique-Produits et matériels pour instituts de beauté, centres de bronzage, esthétique de l´ongle, espaces fitness...-Produits d´amincissement, diététique...-Espace d´ateliers techniques / Innovations
Cette année, cette seconde édition se déroulait sur plus de 5000M² et quelques 10000 visiteurs sont venus apprécier ce salon régional.

Course n° 5 - DU LORET Steeple chase - 4300 m - 15000 € - Etat du terrain : Pénétromètre à 9h : 3,5
Résultats de la course:
Ordre d'arrivée Cheval Distance à l'arrivée Temps de la course
1 3 - GREENIGHT (M. LEVENT) 05'18''23
2 12 - JIM D'ANGE (G. LEENDERS) 1L1/2
3 5 - BELLE PERRUCHE (A. GOUDAL) 1L1/2
4 2 - MUSTANG DU ROY (M-O BELLEY) 4L
5 4 - NINON DE GRISSAY (Y. FOUCHARD) 1L1/2
6 6 - JASPER DO (J. CHARRON) 1L1/2
7 7 - CHAMB DE NOEL (S. PORCHER) 15L
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Non partant : 9 : FARIDIAN ; 11 : ORIGAN JOLY


Rapports de la course:
Jeu simple pour 1 €
N° Gagnant Placés
3 2,90 € 1,60 €
12 2,80 €
5 2,40 €
Coyote Pizza With Red Pepper Sauce

1 12-inch italian bread shell

1 recipe Red Pepper Sauce

6 ounces coarsely shredded deli-roasted or rotisserie - (about 2 cups)

3 tablespoons sliced green onion

2 ounces crumbled or shredded queso fresco - (about 1/4 cup)

3 tablespoons dairy sour cream

1/4 cup fresh cilantro leaves

1 small avocado - halved, seeded, peel

1 serrano pepper or jalapeno pepper -- thinly sliced, optional

Preheat oven to 425° F. Place bread shell on a preheated baking stone or 12-inch pizza pan. Spread with Red Pepper Sauce. Bake for 5 minutes. Top with chicken, green onion, and cheese. Bake for 5 minutes more. Top with sour cream, cilantro, and if desired avocado and sliced peppers. Makes 6 main-dish servings.